-
C'est affreux, si près de la mort, d'être obligé de manger.
(p.20)
-
Le silence de ceux qui se taisent est impressionnant.
(p.25)
-
Il y a beaucoup de gens pour qui une chose prend tout à coup de
la valeur parce qu'un autre la désiré.
(p.36)
-
C'est atroce, quand on est sur le point de mourir, de penser
à ceux qu'on a offensés.
(p.87)
[commentaire de Y.Frisch : ... et on peut mourir chaque jour ! ]
-
C'est affreux de traiter mal un être humain parce qu'on le trouve laid.
(p.88)
(Edition Gallimard et librairie Générale Française, 1971)
|