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L'amour est un tyran qui n'épargne personne.
(Acte I,scène,2)
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Un noble orgueil m'apprend qu'étant fille de roi,
Tout autre qu'un monarque est indigne de moi.
(Acte I,scène,2)
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Si l'amour vit d'espoir, il périt avec lui;
(Acte I,scène,2)
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Pour grand que soient les rois, ils sont ce que nous sommes;
Ils peuvent se tromper comme les autres hommes;
(Acte I,scène 3)
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O rage! ô désespoir! ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
(Acte I,scène 4)
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Rodrigue, as-tu du coeur ? - Tout autre que mon père
L'éprouverait sur l'heure;
(Acte I,scène 4)
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Va, cours, vole et nous venge.
(Acte I,scène 4)
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Qui ne craint point la mort ne craint point les menaces.
J'ai le coeur au-dessus des plus fières disgrâces.
Et l'on peut me réduire à vivre sans bonheur,
Mais non pas me résoudre à vivre sans honneur.
(Acte II,scène 1)
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La valeur n'attend pas le nombre des années.
(Acte II,scène 2)
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Et par leurs coups d'essai veulent des coups de maître.
(Acte II,scène 2)
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A qui venge son père il n'est rien d'impossible.
(Acte II,scène 2)
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A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire.
(Acte II,scène 2)
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La haine que les coeurs conservent au dedans
Nourrit des feux cachés, mais d'autant plus ardents.
(Acte II,scène 3)
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Et lorsque le malade aime sa maladie,
Qu'il a peine à souffir que l'on y remédie!
(Acte II,scène 3)
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Vous parlez en soldat, je dois agir en roi.
(Acte II,scène 4)
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On est toujours tout prêt quand on a du courage.
(Acte IV,scène 5)
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