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- Pourquoi vous les juifs répondez-vous toujours par une question ?
- Et pourquoi pas ?
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Un homme qui se promène dans le quartier juif d'une ville, aperçoit une vitrine pleine
de réveils, d'horloges et de montres. Ayant besoin de faire réparer sa montre il entre
dans la boutique.
- Désoler, mais je ne suis pas horloger, je suis mohel [= circoncisseur].
_ Alors pourquoi toutes ces montres ?
- Et bien, qu'est-ce que vous voulez que j'y mette ?
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Un rabbin demande à ses étudiants:
- Comment sait-on que la nuit s'est achevée et que le jour se lève ? [ commentaire : important pour
savoir si l'heure de la prière matinale est arrivée]
... après diverses réponses «technique» des élèves, le rabbin donne sa réponse:
- Quand nous regardons un visage inconnu, un étranger, et que nous voyons qu'il est notre
frère, à ce moment là le jour s'est levé.
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- Un jour quelqu'un demande à un érudit: «Pourquoi étudiez-vous si
lentement, mais priez si vite ?»
- C'est parce que répondit le sage, lorque je prie je parle à Dieu, mais
quand j'étudie, c'est Dieu qui me parle.
(dans:Les joies du Yiddish de Leon Rosten)
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- Mr Samuel Goldwin à propos de psychiatrie : Quiconque va chez un
psychiatre devrait se faire examiner la tête.
(dans:Les joies du Yiddish de Leon Rosten)
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- Un psychiatre, c'est un médecin juif qui hait la vue du sang.
(dans:Les joies du Yiddish de Leon Rosten)
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Deux plaideurs devant le rabbi. Chacun défend son point de vue.
Après que le premier ait parlé, le rabbi lui dit «Tu as raison».
Après que le deuxième se soit exprimé, le rabbi lui dit aussi :«"Tu as raison».
Un des élèves du Rabbi :«Rabbi, il n'est pas possible que les deux aient raison ».
Alors le rabbi, après un moment de réflexion :« C'est vrai, toi aussi tu as raison ».
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Il faut qu'ils fassent une dissertation sur les éléphants. Chacun réagit selon son génie propre :
- Le Français : « La vie amoureuse des éléphants ».
- L'Américain : « Les éléphants et la richesse des nations ».
- L'Allemand : « La philosophie des éléphants ».
- Le juif : « Les éléphants et la question juive ».
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Face à tout évènement qui peut se produire, les juifs se posent la question:« Est-ce bon pour nous ?»
[YF: ;-) En fait qui est celui ou celle qui ne se pose pas cette question ? ]
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