Jules Renard (1864-1910)

Journal


  • J'aime la solitude même quand je suis seul. (1898)

  • - Vous n'aimez pas les femmes ?
    - Je les aimes toutes; Je fais des folies pour elles. je me ruine en rêve. (1907)

  • Ecrire, c'est une façon de parler sans être interrompu. (1895)

  • La modestie va bien aux grands hommes. C'est de n'être rien et d'être quand même modeste qui est difficile. (1895)

  • C'est chez le juif que nos défauts nous apparaissent le mieux. (1901)

  • L'homme vraiment libre est celui qui sait refusr une invitation à diner, sans donner de prétexte. (1895)

  • Il n'y a pas d'amis, il y a des moments d'amitiés. (1894)

  • Comme on serait meilleur, sans la crainte d'être dupe! (1896)

  • Paresse: habitude prise de se reposer avant la fatigue. (1906)

  • Un homme se console d'être doux en affirmant qu'il est féroce quand il s'y met. (1891)

  • Si vous connaissez la vie, donnez-moi son adresse. (1895) (1895)

  • J'ai beau avoir mon âge et être maire: quand je vois un gendarme, je ne suis pas tranquille. (1906)

  • Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité. (1899)

  • Tout le monde ne peut pas être orphelin. (Poil de carotte)

  • Il n'y a pas de Paradis, mais il fat tâcher de mériter qu'il y en ait un. (1895)

  • Sauf complication il va mourir. (1896)

    (citations prise dans «Jules Renard en verve».Edition Pierre Horay 1971))



voir:
Le texte complet du journal,  

Début de page   Page d'accueil
Sites miroirs de Yves Frisch: free   noos   geocities(yahoo)   libertysurf   nom propre  
Me contacter . . .
dernière mise à jour : 09/11/2001